On le supprime. Je sais bien que le lundi est passé. Pas la peine deme le rappeler, je sais compter. Je suis venue juste pour le plaisir de voir quand est-ce que vous alliez me poser cette question.
Au revoir à vous tous. Peut-être même à jamais pour Méli-Mélo et Anémone, sachez que ça a été un plaisir de vous rencontrer. Enfin de compte, pour échapper à ses malheurs j'aurai peut-être dpu faire dû faire un plus petit pas... Aucun de vous ne comprendras. Car c'est un exploit que moi seule peut me vanter mais je ne le ferai point. Je suis heureuse d'avoir fait un pas pile à la bonne distance. Car j'avoue que la falaise était rude. Mais je vous aurai épargné ses longs adieux.
Je ne suis pas sucidaire. Juste sensible et irratrapable. Sachez une chose. Je ne crois qu'en l'Enfer. De toute façon, on y finira tous.
Personne ne me comprends, même si vous le croyez jusqu'à présent, je me suis toujours efforcé d'être compréhensible. Maintenant j'en ai plus rien à faire. Beaucoup penserons que je suis sucidaire. C'est faux. Je tiens à la vie bien que je crois pas à la mort ni à la fin. Je resterai. Pour culpabiliser. Pour pleurer. Pour crier. Pour vivre plus longtemps se calvaire. Au pire, un jour ça s'arrêtera. Mais ce jour-là, j'aurai eu le temps (des années j'espère) pour savourer ma défaite. Pour ne pas oublier mes larmes. Pour me souvenir d'avoir supplier de n'être pas nacquit. Juste pour m'embêter. Juste pour rire de ma douleur, non, je ne suis pas sucidaire.
Sans doute Coraille supprimera mon commentaire. Sans doute vous me rentiendrez. Mais Angelia, vous qui ne retenez de moi qu'un monstre. Je ne fais que citer. Et bien supprimer mon compte ou banissez moi à perpétuités. J'en ai rien à faire.
Sachez que c'est dur. Avant, j'avais l'amour qui me détruisait mais l'amitié était là. Solide. Forte. Mais lorsque l'amitié nous enfonce encore plus. On a plus rien. Sauf, sa famille et surtout, surtout, l'indifférence totale soit rire face à la douleur.
Maintenant sur-ce, sachez que je pars. Au revoir. Après avoir bien rigoler c'est trois derniers jours. Après avoi réussis à m'enfoncer en deux phrases, je pars.